Il manquait Laurent Garnier pour avoir la touche parfaite ! (j’ai cru un moment reconnaitre “the man with the red face” quand le scène a viré au rouge mais ça n’était pas ça…)
Il manquait Laurent Garnier pour avoir la touche parfaite ! (j’ai cru un moment reconnaitre “the man with the red face” quand le scène a viré au rouge mais ça n’était pas ça…)
Dans Sodoma, Martel propose une construction un peu plus complexe : à une époque où l’homosexualité était honteuse, l’église a été une solution de repli pour se cacher aux yeux de la société.
Mais cela a créé de la la confusion dans les membres du clergé : comment dénoncer les abus quand on se sent soit même “déviant” ? Son argument est de dire que la “faute” de l’homosexualité a tellement été intégrée que cela crée un tabou général qui favorise les abus.
Le livre est bourré de témoignage, Martel y va aussi de sa sensibilité (son “gaydar” comme il dit), et est une véritable enquête. Je pense qu’il y à a prendre et à laisser, mais l’analyse est intéressante.
Ça me fait penser à la série halt and catch fire. Il y a une créatrice de jeu vidéo à l’imagination sans limite dont le studio de création est un squat ou vivent tous les membres de l’équipe. J’ai adoré cette série, très humaine.
Et voilà la playlist :
https://www.huffingtonpost.fr/jo-paris-2024/article/ceremonie-de-cloture-des-jeux-paralympiques-la-playlist-complete-de-la-soiree-au-stade-de-france_239357.html